Un proverbe arabe dit : « Ne baisse jamais les bras, tu risques de le faire deux secondes avant le miracle. »
Tu connais sans doute cette expression, « baisser les bras » ?
Cela signifie abandonner, ne plus y croire, ne plus voir d’issue positive, laisser tomber…
Je ne sais pas pour toi, mais longtemps cela a été mon quotidien. Aujourd’hui, juste le fait d’employer cette expression me met hors de moi.
J’ai été victime de ce que j’appelle la pression du contexte. Quand on voit le nombre de gens qui nous entoure qui baisse tellement facilement les bras, on en vient à penser que cela est tout à fait normal…
J’ai vu mes parents baisser les bras devant les résultats scolaires de mes frères (et les miens), je les entends encore discuter ensemble et de dire : « Il n’arrivera jamais à rien! Autant qu’il quitte l’école et qu’il apprenne un métier ! »
J’ai vu des amis abandonner leurs études en 5ème Médecine, après avoir réussi les 4 premières années sans soucis : « Je n’en peux plus ! J’abandonne ! »
J’ai vu des centaines de personnes qui semblaient pourtant tellement enthousiastes, abandonner la possibilité d’avoir mieux parce qu’on leur a dit « NON » deux, trois, quatre fois.
Je vois tous les soirs des centaines de personnes rentrer chez elles fatiguées et aigries par leur travail, jaloux de leur supérieur qui a mieux réussi qu’elles, jalouses de leur voisin qui s’est acheté une plus belle voiture, râlant contre leur femme ou leur mari, leurs enfants, leur poisson rouge : « J’en ai marre de cette vie de…! »
A croire que « baisser les bras » est devenu une discipline nationale !
Et pourtant…
Nous sommes les premiers à encourager notre entourage de continuer à faire les choses qui leur tiennent à cœur, encourager nos enfants dans leurs études.
C’est tellement encourageant de terminer une chose que l’on a commencé et de sentir sur soi le regard d’admiration de nos enfants à qui on a prouvé que l’on savait aller jusqu’au bout des choses.
Et c’est tellement gratifiant de faire un travail que l’on aime et qui nous rapporte assez d’argent pour faire bien vivre sa famille, sans pour autant gagner des milliers d’euros.
Ne pas baisser les bras est véritablement beaucoup mieux pour nous.
Tu me diras : « Plus facile à dire qu’à faire »
Je te répondrai que de ne pas baisser les bras, cela s’apprend !
Il existe un tas de méthodes pour apprendre à rester positif, à ne pas abandonner, à garder sa motivation au top.
Je m’engage à partager certaines de ces méthodes avec toi.
En attendant, un petit conseil : VA JUSQU’AU BOUT DES CHOSES !
Tu penses que tu n’y arriveras pas ? Que c’est trop compliqué ? Pas assez efficace ?
Dis-moi… ne serais-tu pas en train de baisser les bras, là, non ?
Sois heureux.se et vise l’excellence !